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La célébration des funérailles |
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’’Ne
tremblez pas, cœurs fidèles, Dieu vous fera
signe un jour, que Jésus, vrai Dieu né du vrai Dieu, et vrai homme, né de Marie,
où
Dieu essuie toute
larme de nos yeux, |
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vous souhaitez que l’Eglise
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accompagne cette personne, |
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dans le
cadre d’une cérémonie religieuse que l’on appelle |
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Pour que cette cérémonie exprime bien votre foi et
vos attentes, |
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La personne
(prêtre, diacre ou laïc) |
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Auprès de qui vous adresser ? |
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Presbytère, 11, rue de la mairie, 67370
GRIESHEIM / SOUFFEL Tél. : 03 88 56 04
71 Courriel : presbyterecatholique.jean-claude@neuf.fr
Tél. :
03 88 69 74 44
Télécopie : 03 88 69 61 84
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Guy WALTER
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Stutzheim : Pierre WERNERT 03 88 69 62 15 |
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Comment
imaginer notre résurrection ?
Comment imaginer
notre résurrection ? Comment sera
notre corps quand
nous ressusciterons ? A ces questions, nous n’avons pas beaucoup de réponses. Jésus, en
nous assurant qu’il
nous « prendra avec
lui » (Jean, 14,3) ne nous
a pas donné
de détails sur
les modalités physiques
de notre
relèvement de la
mort. Tout au
plus pouvons-nous être
attentifs à ce
que les évangélistes nous rapportent de
Jésus ressuscité. A la
fois le même
et un personnage différent ! Les disciples
ont du mal
à le reconnaître. La
vision
« naturelle »
ne leur suffit
plus : il
leur faut aussi
un regard de
foi. Le corps
du Seigneur a
conservé les marques
de sa Passion,
et
il peut manger
et boire. Mais le
Christ n’est plus
soumis aux lois
de la vie physique : il
apparaît et disparaît, traverse les murs … A ses
disciples, qui sont,
eux, encore dans
la vie terrestre, il
se présente d’une
manière encore terrestre, mais tout
indique que
la façon d’être
dans la Lumière
de Dieu s’avère
différente. |
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En effet, la
résurrection d’entre les
morts annoncée
et inaugurée par
Jésus correspond
à une nouvelle
création. Il y aura
une totale transfiguration de l’humanité, telle
que le récit
de la Transfiguration de Jésus (Matthieu, 17,
1-9) peut nous le faire comprendre. Ce
seront « les cieux
nouveaux et la
terre nouvelle » où
Dieu établira pour
toujours sa demeure
parmi les hommes
(Apocalypse, 21, 3), le
monde où le
Créateur « essuiera toute
larme de (nos)
yeux ; de
mort, il n’y
en aura plus ; de
peur, de cri
et de peine,
il n’y en
n’aura plus, car le monde
ancien s’en est
allé » (Apocalypse,
21, 4). Notre
résurrection sera celle
« de la chair », celle de notre
corps, car celui-ci
fait partie de
notre être. Avec
notre corps, nous
verrons Dieu face
à face. Avec
notre corps, il
nous sera donné
de vivre en
relation véritable avec
les autres. Un
corps débarrassé de
tout péché, de
toute défiguration. Un
corps qui ne
pourra qu’être de
toute beauté, car
totalement uni à
celui du Christ
établi dans la
Gloire du Père. Père Christian
DELORME, prêtre à
Lyon, in « Pèlerin »
du jeudi 3 août 2006 |
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LE ROYAUME
DU CIEL
c'est qu'on y est dégagé de toutes les choses de la terre, qu'on
y goûte un
repos, une béatitude
intimes, qu'on
s'y réjouit de
la joie de
tous, dans
une paix perpétuelle, dans
un bonheur profond de
voir tous les
élus sanctifier et
louer le Seigneur,
bénir
son nom, sans
qu'il se trouve
personne pour l'offenser. Tous l'aiment, et l'âme n'a
d'autre occupation que
de l'aimer, et elle
ne peut cesser
de l'aimer parce qu'elle le connaît. Eh
bien ! s'il
nous était donné
de le connaître, nous
l'aimerions de même
ici-bas, non
toutefois aussi parfaitement, ni avec cette
stabilité, mais enfin,
nous l'aimerions tout
autrement que nous
ne l'aimons... Ce
dont il s'agit
est possible à
l’âme, dès cet
exil, avec la
grâce de Dieu. Mais il
reste vrai qu'elle
ne peut pas
l'atteindre parfaitement... car nous
naviguons encore sur
la mer de
ce monde, et nous
sommes toujours voyageurs. Il est
des moments cependant où le Seigneur, nous
voyant fatigués du
chemin, met toutes
nos puissances dans
le calme et
notre âme dans
la quiétude. Il révèle
alors clairement, par
un certain avant-goût, quelle
est la saveur
de la récompense réservée
à ceux qu'il
introduit dans son
royaume. Sainte Thérèse d'Avila (1515-1582),
carmélite, docteur de l'Église |
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Quelques textes qui peuvent vous aider à dire les choses … |
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Ma dernière
aventure. Je croyais
jusqu’alors que l’amour
était reliance,
subitement, Alors, amis,
Tout est mystère.
Christiane
SINGER, 3 novembre 2006 Derniers
fragments d’un long voyage |
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« La jeune
fille n'est pas morte : elle dort »
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Un Amour
m’attend … |
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(Canon Henry Scott Holland) |
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Quand vous saurez que je suis mort, ce sera un jour ordinaire. Il fera beau
dehors, peut-être. Les moineaux ne
vont pas se
taire. Rien ne sera
vraiment changé : les passants seront
de passage, le pain sera
bon à manger,
le vin versé
pour le partage (…). Mais pour moi,
quelle merveille : le soleil a
son beau chapeau,
la Paix a
mis sa belle
robe, la Justice a
changé de peau,
et Dieu est
là dans ses
vignobles. Je suis passé
dans l’avenir. Ne restez pas
dans vos tristesses, enfermés dans vos
souvenirs. Souriez plutôt de
tendresse. Si l’on vous
dit que je suis mort, surtout n’allez donc
pas le croire. Cherchez un vin
qui ait du
corps, et avec vous,
j’irai le boire.
Jean DEBRUYNNE |
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Prière
de saint Augustin et tu
ne pourrais ni
me revoir, ni
m’aimer encore Crois-moi, |
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’’ Père, j’ai
tenté d’être un
homme, et je
suis ton enfant.’’ |
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Je suis
debout, au bord
de la plage. |
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Mon espérance et ma paix … Oh, mon
Dieu et mon
Père,
Pasteur Charles Wagner, mai
1918 |
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