Le Baptême

 

 

 

 

 

 

 

A quoi ça sert de faire baptiser son enfant ?
Dieu est bon : il aime tous les enfants qui naissent dans le monde.
Comment peut-on penser que Dieu n'aime pas

un petit bébé innocent qui vient de naître,

un enfant qui grandit, 

un adulte qui vit,

     une personne âgée qui s’éteint en aimant ?
Tous les enfants, tous les êtres humains sont enfants de Dieu !


Oui, c’est bien d’être aimé, par ses parents, par son conjoint, par son ami.
Mais il est essentiel dans la vie de sentir qu'on est aimé.
Un petit enfant, un conjoint, un ami  a besoin,
non seulement d'être aimé,
mais aussi de savoir qu'il est aimé.
Un enfant à qui on n'exprime jamais de manifestation d'affection,

ne peut pas grandir ni être heureux.

Bien sûr, Dieu aime tous les enfants qui naissent,
mais, pour les enfants qui sont baptisés,
cet amour leur est manifesté au jour de leur baptême,

comme pour Jésus, au moment où Jean le baptisait dans le Jourdain.
Ça change tout.

Au moment du sacrement du baptême,
Dieu redit sur chaque baptisé cette parole mystérieuse et fondamentale :
cette parole qu’il nous a transmise à travers son prophète Isaïe (Is, 43) :

 
« Je t’ai appelé  par ton nom,

Tu comptes beaucoup à mes yeux      
 Tu es précieux  pour moi,   car Je t’aime

Je t’aime tant : tu as du prix à mes yeux. 
Je t’ai gravé sur la paume de mes mains.
Dans l’épreuve, je suis près de toi,                                                                
Ne crains pas, car Je suis avec toi,   le jour, la nuit, tout au long de ta vie ».

 

 

 

 

 

 

D’autres  questions  à  propos  du  baptême ?

Cliquez  ici :   http://www.portstnicolas.org/rubrique.php3?id_rubrique=83

 

 

 

 

 

 

 

Pour plus de renseignements d’ordre pratique sur le baptême,   cliquez ici :

http://www.croire.com/eta/bap/index.jsp?rubId=234

ou ici :

http://catholique-paris.cef.fr/sacrements/bapteme.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour  découvrir              en jouant 

ce  qui  se  passe  au cours  de  la  liturgie  du baptême,

 

cliquez  ici :    http://acnav.net/jeux/memory/memory_bapt.htm

 

 

 

 


Charles MENGUS, diacre, a reçu, parmi les missions que lui a données Mgr DORE,
la mission d’animer la pastorale du baptême  au niveau du doyenné du Kochersberg.

Dans ce cadre, il organise, une fois par mois,  
une rencontre avec les familles qui demandent le baptême pour leur enfant.

Les prochaines réunions auront lieu, toujours à 20 h 00 :

-  le lundi 22 octobre 2007    à KUTTOLSHEIM, caveau du presbytère, à côté de l’église

-  le vendredi 23 novembre 2007    à DINGSHEIM, ancien presbytère, à côté de l’église


-  le lundi 10 décembre 2007     à TRUCHTERSHEIM, salle du presbytère

 

-  le vendredi 18 janvier 2008   à KUTTOLSHEIM, caveau du presbytère, à côté de l’église

-  le lundi 18 février 2008      à DINGSHEIM,  ancien presbytère, à côté de l’église


-  le vendredi 28 mars 2008      à TRUCHTERSHEIM, salle du presbytère


-  le lundi 21 avril 2008    à KUTTOLSHEIM, caveau du presbytère, à côté de l’église

-  le vendredi 23 mai 2008    à DINGSHEIM, ancien presbytère, à côté de l’église


-  le lundi 23 juin 2008     à TRUCHTERSHEIM, salle du presbytère


-  le vendredi 25 juillet 2008   à KUTTOLSHEIM, caveau du presbytère, à côté de l’église

-  le lundi 25 août 2008         à DINGSHEIM,  ancien presbytère, à côté de l’église


-  le vendredi 26 septembre 2008   à TRUCHTERSHEIM, salle du presbytère


Vous pouvez contacter Charles MENGUS  au
 9 rue du maréchal Leclerc, 67370 GRIESHEIM /SOUFFEL, tél. 03 88 56 33 50


 

Vous désirez que votre petit enfant (de moins de 4 ans) soit baptisé(e) 


Si vous habitez dans l’un des villages suivants :

 


Prenez contact avec

 

 

 

 

DINGSHEIM, GRIESHEIM/SOUFFEL, PFULGRIESHEIM

 


Charles MENGUS   03 88 56 33 50
Mme DAUBENBERGER   03 88 56 10 37

 

 

STUTZHEIM-OFFENHEIM, WIWERSHEIM, DOSSENHEIM

 


Monique WERNERT (STUTZHEIM)
03 88 69 62 15  ou 06 08 27 22 37

 

ITTENHEIM, HURTIGHEIM, HANDSCHUHEIM, FURDENHEIM, QUATZENHEIM

 

 

 

 

 

Pierre LUCAS,
7 rue des vergers  67117 ITTENHEIM
Tél. : 03 88 69 11 59
Courriel :pierrejosiane.lucas@laposte.net

 

 

 

 

Vous désirez que votre enfant, âgé(e) de 4 à 7 ans, soit baptisé(e) 

 

 

 

L’Eglise souhaite que vous attendiez que votre enfant ait 7 ans,
pour qu’il puisse être associé à votre demande,
et participer pleinement au sacrement qu’il va recevoir

 

 

 

 

 

Vous et votre enfant, âgé(e) de 7 à 16 ans, demandez le baptême 

 

Si vous habitez dans l’un des villages suivants :


DINGSHEIM, GRIESHEIM/SOUFFEL, PFULGRIESHEIM

 

 

 

STUTZHEIM-OFFENHEIM, WIWERSHEIM, DOSSENHEIM

 

 

 

ITTENHEIM, HURTIGHEIM, HANDSCHUHEIM, FURDENHEIM, QUATZENHEIM

 

 

 

 

Prenez contact avec

 

Charles MENGUS
9 rue du maréchal Leclerc,
67370 GRIESHEIM /SOUFFEL,
.03 88 56 33 50

Monique WERNERT (STUTZHEIM)
03 88 69 62 15   ou  06 08 27 22 37

 

 

Josiane LUCAS,
7 rue des vergers  67117 ITTENHEIM
Tél. : 03 88 69 11 59
Courriel : pierrejosiane.lucas@laposte.net

 

 

 

 

Vous êtes âgé(e) de plus de 16 ans, et vous désirez être baptisé(e) 

 

Prenez contact avec

 

 

Jean-Claude HAUBER, curé
de la Communauté de Paroisses
‘’Les portes du Kochersberg’’,
11, rue de la Mairie
67370 GRIESHEIM / SOUFFEL 
tél. 03 88 56 04 71


ou avec
le Bureau de la Pastorale liturgique
et sacramentelle


Secrétariat : 27 rue des Juifs 67081 Strasbourg Cedex
Tél.: 03 88 21 29 99
Fax: 03 88 21 24 55
Courriel : sdpl.alsace@freesbee.fr

Coopératrice de la pastorale :
Mme Geneviève STIRNEMANN

Secrétariat : Mme Anne STIRNEMANN

 

 

 

Vous vous interrogez sur le prénom que portera votre enfant ?

Vous souhaitez connaître quel est le saint ou la sainte
qui est à l’origine de tel ou tel prénom ?

Vous souhaitez en savoir plus sur la vie de ce saint ?

 

Cliquez ici :  http://nominis.cef.fr/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un prénom et un saint pour la vie

Au moment de choisir un prénom,
les parents ne pensent pas forcément au futur saint patron de leur enfant.
Mais pour l'Église, le prénom chrétien
est l’occasion de relier l’enfant à la grande famille des enfants de Dieu.

Le 24 avril dernier, Aude et Emmanuel ont baptisé leur premier enfant. Une petite Claire. «Nous trouvons ce prénom beau, à la fois doux et simple», explique la jeune maman. L’aspect religieux du prénom n’aurait donc pas influencé ce jeune couple chrétien ?
«Nous n’aurions pas choisi n’importe quel prénom», reconnaît Emmanuel.
La jeune famille a même évité «un prénom qui n’aurait pas eu de sens».
Et sans avoir choisi le prénom de leur fille «pour» sainte Claire,
ses parents reconnaissent néanmoins être «très heureux de la rattacher à une sainte                    que nous aimons beaucoup ».
Ils ajoutent, les yeux tournés vers le bébé, « nous serons contents de lui en parler».

Un exemple qui recoupe l’enquête menée par le site «meilleursprenoms.com»                         auprès de 5.500 internautes francophones : pour 58 % d’entre eux, le caractère religieux               du prénom n’a eu aucune influence dans leur choix.
Un critère qui arrive loin derrière celui de la sonorité, jugé indispensable ou importante pour... 86 % des sondés !
Mais le caractère religieux d’un prénom a-t-il jamais eu une influence ?
«Auparavant, on utilisait des prénoms qui circulaient de génération en génération                    au sein d’une même famille. Aujourd’hui le prénom est vraiment le choix des parents», remarque l’anthropologue Colette Méchin.
Cette chercheuse au CNRS a rencontré de nombreux parents pour essayer de comprendre ce qui avait motivé le choix du prénom de leurs enfants.
Et son étude conteste l’idée selon laquelle, avec la multiplication de prénoms ridicules,                    on basculerait aujourd’hui dans «l’idiotie».
«Les parents souhaitent donner le meilleur à leur enfant et leur recherche tous azimuts                  vers des noms de stars ou de personnages de l’actualité rejoint cette volonté de leur donner un modèle», explique-t-elle.

 

 

 

«Donner un nom chrétien à un enfant, c’est lui donner une famille»

Comme cette mère de famille qui avait appelé son fils Kevin, en hommage à l’acteur américain Kevin Costner à qui elle semblait vouer un véritable culte :
« Elle en parlait comme d’un saint », constate l’anthropologue...
La motivation est-elle la même pour ceux qui choisissent un prénom plus traditionnel ?


«Je ne crois pas que les parents cherchent à "coller" à un saint en particulier»,                        relève Colette Méchin qui prend l’exemple du prénom Catherine qui peut autant se rattacher à sainte Catherine d’Alexandrie (IVe siècle) qu’à sainte Catherine de Sienne (1347-1380), qu’à sainte Catherine Labouré (1806-1876). «Cela ne veut pas dire que, plus tard,                      l’enfant ne cherchera pas à s’approprier tel ou tel saint dont il porte le prénom                                  afin de privilégier un aspect de sa personnalité», insiste-t-elle.

 

L’Église catholique a longtemps veillé à donner aux parents des consignes strictes concernant le choix du prénom de leurs enfants.
Ainsi, au tout début du XVIIIe siècle, l’évêque de Québec interdisait formellement                          «aux Curez de permettre qu’on donne des noms profanes ou ridicules à l’enfant,                        comme d’Apollon , de Diane, etc.».

«Mais, continuait-il, elle commande qu’on lui donne le nom d’un saint ou d’une sainte                selon son sexe, afin qu’il puisse imiter les vertus et ressentir les effets de la protection auprès de Dieu...»

Et de publier une liste de 1251 prénoms de garçons et de 373 prénoms de filles autorisés...

Si elle n’est plus aujourd’hui aussi stricte, l’Église continue néanmoins de recommander                aux parents de choisir un prénom qui se rattache à un saint. Avec toujours le même objectif : «proposer un modèle de vie», et «donner un saint protecteur».


Comme le rappelait en 1994 le cardinal Godfried Danneels, dans le bulletin                                   de  son  diocèse  de  Malines - Bruxelles,

«donner un nom chrétien à un enfant, c’est aussi lui donner une famille».                                            «La recherche de prénoms qui n’ont plus rien à voir avec la foi et avec les témoins                            de l’Évangile conduit à isoler l’enfant, écrivait-il. Celui-ci n’a plus de famille.                                   Il est enfermé dans un cocon. Il y va d’une conception de l’homme. Celui-ci se comporte comme un petit dieu : il invente son propre nom. Il ne le reçoit de nulle part.»

 

 

 

 

Ces martyrs vont aussi devenir des intercesseurs, des protecteurs

Car, comme le rappelle le cardinal belge, «dans la mentalité chrétienne,                                     l’homme est relié à Dieu, à ses ancêtres, à un peuple et à ses saints.

Donner à un enfant un nom "de famille", un nom qui le rattache à une lignée,                                   c’est beaucoup plus que de le mettre sous la protection d’un saint.

Si nous perdons le sens de la communion des saints, nous nous considérons comme si              nous étions chacun tout un univers dont nous sommes et le Dieu et le peuple.»

 

Communion des saints : le mot est lancé, soulignant la filiation spirituelle profonde                                    qui unit les chrétiens d’aujourd’hui aux témoins d’hier qui deviennent tout autant des modèles que des intercesseurs.

Prêtre du diocèse de Quimper, spécialiste de liturgie et auteur d’un livre sur le baptême (1), le P. Michel Scouarnec rappelle à quel point ces deux approches traversent en permanence la pensée et la pratique chrétiennes des saints. «Les martyrs ont d’abord été des modèles : on s’identifiait à ces hommes et ces femmes qui avaient imité le Christ                                      jusqu’au don de leur vie», explique-t-il.


Le plus ancien exemple connu : saint Polycarpe, évêque de Smyrne (dans l’actuelle Turquie) martyrisé au milieu du IIe siècle. Dans une lettre à une autre communauté,                                       les chrétiens de Smyrne racontent comment ils ont recueilli les restes de leur évêque                   «pour les déposer en un lieu convenable».

«C’est là, autant que possible, que le Seigneur nous donnera de nous réunir                               dans l’allégresse et la joie, pour célébrer l’anniversaire de son martyre, de sa naissance,                     en mémoire de ceux qui ont combattu avant nous, et pour exercer et préparer                                  ceux qui doivent combattre à l’avenir», soulignent les Smyrniotes.

 

Très vite, ces martyrs vont aussi devenir des intercesseurs, des protecteurs.

«Leur courage face à l’adversité faisait d’eux des intermédiaires qu’on pouvait prier», explique le P. Scouarnec.

Une double dimension que souligne parfaitement la préface de la Toussaint,                               tirée d’un ancien texte liturgique parisien du XVIIIe siècle :

«Tu es glorifié dans l’assemblée des saints [...] dans leur vie, tu nous procures un modèle, dans la communion avec eux, une famille, et dans leur intercession un appui.»

Nicolas SENEZE  (publié dans le journal La-Croix le 10 juin 2005)
(1) Le baptême, coll. «Tout simplement», Éditions de l’Atelier, 184 p., 18 €.

 

 

 

À lire

 

Histoire de saints d’Aviad Kleinberg coll. «Bibliothèques des histoires», Gallimard, 360 p., 23 €.
Professeur d’histoire à l’université de Tel-Aviv, l’auteur dresse ici une histoire de la sainteté dans l’Église catholique et, en particulier, de la manière dont les saints ont été racontés, jusqu’à Légende dorée                    de Jacques de Voragine. une «histoire des histoires» qui montre aussi comment l’institution ecclésiastique                 a dû tenter de canaliser l’enthousiasme des foules et leur force créatrice.


L'usage des saints de Michel Braudeau Gallimard, 94 p., 10,50 €.
Rédacteur en chef à la NRF, Michel Braudeau avait brossé à l’été 2004 dans Le Monde, où il est aussi journaliste, le portrait de 6 saints «avec lesquels beaucoup de croyants entretiennent un rapport familier». Loin d’une hagiographie parfois aride, ce «florilège arbitraire», auquel l’auteur a ajouté François d’Assise, emploie parfois un ton ironique : «J’ai respecté les convictions de chacun », assure-t-il,                                rappelant que «les saintes et les saints en ont entendu d’autres» !

 

Pour les enfants

 

Les saints, je m'amuse à les renontrer d’Isabelle Béraud-Sudreau et Chantal Guyot Bonneton Jeunesse, 160 p., 12 €.

Si autrefois tout le monde savait reconnaître, à ses attributs, la statue d’un saint, la chose est moins aisée aujourd’hui. Les auteurs de ce petit livre donnent donc ici aux enfants les clés pour décrypter                               les représentations d’une soixantaine de saints. Bien illustré, accompagné d’une courte biographie                       de chaque personnage, il fera le bonheur des enfants qui vous demanderont «pourquoi la dame                    dans l’Église, elle a un orgue dans les bras». Vous pourrez alors répondre (brillamment) :                                «C’est sainte Cécile.»

Le grand livre des saints de Xavier Lecœur, Bayard Jeunesse, 94 p., 19,90 €.
De saint Pierre à la bienheureuse Teresa de Calcutta, l’auteur dresse le portrait de vingt saints                                    qui ont marqué leur temps.