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Le Baptême
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A quoi ça sert de faire baptiser son enfant ? un petit bébé innocent qui vient de naître, un enfant qui grandit, un adulte qui vit, une
personne âgée qui s’éteint en aimant ?
ne peut pas grandir ni être heureux. Bien sûr, Dieu aime tous les enfants qui naissent, comme pour Jésus, au moment où Jean le baptisait dans le Jourdain. Au moment du sacrement du
baptême, Tu comptes beaucoup à mes yeux Je
t’aime tant : tu as du prix à mes yeux.
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D’autres questions
à propos du
baptême ? |
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Pour plus de renseignements d’ordre pratique sur le
baptême, cliquez ici :
http://www.croire.com/eta/bap/index.jsp?rubId=234
ou ici :
http://catholique-paris.cef.fr/sacrements/bapteme.htm
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Pour découvrir
en jouant ce qui
se passe au cours
de la liturgie
du baptême, cliquez ici : http://acnav.net/jeux/memory/memory_bapt.htm |
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- le vendredi 23 novembre 2007 à DINGSHEIM, ancien presbytère, à côté
de l’église
- le vendredi 18 janvier 2008 à KUTTOLSHEIM, caveau du presbytère, à
côté de l’église - le lundi 18 février 2008 à DINGSHEIM, ancien presbytère, à côté de l’église
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Vous désirez que votre petit enfant (de
moins de 4 ans) soit baptisé(e)
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DINGSHEIM,
GRIESHEIM/SOUFFEL, PFULGRIESHEIM |
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STUTZHEIM-OFFENHEIM,
WIWERSHEIM, DOSSENHEIM |
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ITTENHEIM, HURTIGHEIM, HANDSCHUHEIM, FURDENHEIM,
QUATZENHEIM |
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Pierre LUCAS, |
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Vous désirez que votre enfant, âgé(e) de 4 à 7 ans, soit baptisé(e) |
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L’Eglise souhaite que vous attendiez que votre enfant ait
7 ans, |
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Vous et votre enfant, âgé(e) de 7 à 16 ans, demandez le baptême |
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Si vous habitez dans l’un des villages suivants :
STUTZHEIM-OFFENHEIM, WIWERSHEIM, DOSSENHEIM ITTENHEIM, HURTIGHEIM, HANDSCHUHEIM, FURDENHEIM,
QUATZENHEIM |
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Prenez contact avec Charles MENGUS Monique WERNERT (STUTZHEIM) Josiane LUCAS, |
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Vous êtes âgé(e) de plus de 16 ans, et vous désirez être baptisé(e) |
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Prenez contact avec |
Jean-Claude HAUBER, curé |
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Vous vous interrogez sur le prénom que portera votre
enfant ? Cliquez ici :
http://nominis.cef.fr/ |
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Un prénom et un saint pour la vie Le 24 avril dernier, Aude et Emmanuel ont baptisé leur premier enfant.
Une petite Claire. «Nous trouvons ce prénom beau, à la fois doux et simple»,
explique la jeune maman. L’aspect religieux du prénom n’aurait donc pas
influencé ce jeune couple chrétien ? |
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«Donner un nom chrétien à un enfant, c’est lui donner une famille» Comme
cette mère de famille qui avait appelé son fils Kevin, en hommage à l’acteur
américain Kevin Costner à qui elle semblait vouer un véritable culte :
L’Église
catholique a longtemps veillé à donner aux parents des consignes strictes
concernant le choix du prénom de leurs enfants. «Mais,
continuait-il, elle commande qu’on lui donne le nom d’un saint ou d’une
sainte selon son sexe,
afin qu’il puisse imiter les vertus et ressentir les effets de la protection
auprès de Dieu...» Et
de publier une liste de 1251 prénoms de garçons et de 373 prénoms de filles
autorisés...
«donner
un nom chrétien à un enfant, c’est aussi lui donner une famille».
«La recherche de prénoms qui n’ont plus rien à voir avec la foi et
avec les témoins
de l’Évangile conduit à isoler l’enfant, écrivait-il. Celui-ci n’a
plus de famille. Il est enfermé dans un cocon.
Il y va d’une conception de l’homme. Celui-ci se comporte comme un petit dieu
: il invente son propre nom. Il ne le reçoit de nulle part.» |
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Ces martyrs vont aussi devenir des intercesseurs, des protecteursCar,
comme le rappelle le cardinal belge, «dans la mentalité chrétienne, l’homme
est relié à Dieu, à ses ancêtres, à un peuple et à ses saints. Donner
à un enfant un nom "de famille", un nom qui le rattache à une
lignée,
c’est beaucoup plus que de le mettre sous la protection d’un saint. Si
nous perdons le sens de la communion des saints, nous nous considérons comme
si nous étions chacun
tout un univers dont nous sommes et le Dieu et le peuple.» Communion
des saints : le mot est lancé, soulignant la filiation spirituelle
profonde
qui unit les chrétiens d’aujourd’hui aux témoins d’hier qui deviennent
tout autant des modèles que des intercesseurs. Prêtre
du diocèse de Quimper, spécialiste de liturgie et auteur d’un livre sur le
baptême (1), le P. Michel Scouarnec rappelle à quel point ces deux approches
traversent en permanence la pensée et la pratique chrétiennes des saints.
«Les martyrs ont d’abord été des modèles : on s’identifiait à ces hommes et
ces femmes qui avaient imité le Christ jusqu’au don de leur vie»,
explique-t-il.
«C’est
là, autant que possible, que le Seigneur nous donnera de nous réunir dans
l’allégresse et la joie, pour célébrer l’anniversaire de son martyre, de sa
naissance, en mémoire de ceux qui ont
combattu avant nous, et pour exercer et préparer ceux qui doivent combattre à
l’avenir», soulignent les Smyrniotes. Très
vite, ces martyrs vont aussi devenir des intercesseurs, des protecteurs. «Leur
courage face à l’adversité faisait d’eux des intermédiaires qu’on pouvait
prier», explique le P. Scouarnec. Une
double dimension que souligne parfaitement la préface de la Toussaint, tirée d’un
ancien texte liturgique parisien du XVIIIe siècle : «Tu
es glorifié dans l’assemblée des saints [...] dans leur vie, tu nous procures
un modèle, dans la communion avec eux, une famille, et dans leur intercession
un appui.» Nicolas SENEZE (publié dans le journal La-Croix le 10
juin 2005) |
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À lire Histoire de saints
d’Aviad Kleinberg coll. «Bibliothèques des histoires», Gallimard, 360 p., 23
€.
Pour les enfants Les saints, je m'amuse à
les renontrer d’Isabelle Béraud-Sudreau et Chantal Guyot Bonneton
Jeunesse, 160 p., 12 €. Si autrefois tout le monde
savait reconnaître, à ses attributs, la statue d’un saint, la chose est moins
aisée aujourd’hui. Les auteurs de ce petit livre donnent donc ici aux enfants
les clés pour décrypter les représentations d’une
soixantaine de saints. Bien illustré, accompagné d’une courte biographie de chaque personnage,
il fera le bonheur des enfants qui vous demanderont «pourquoi la dame dans l’Église, elle a un
orgue dans les bras». Vous pourrez alors répondre (brillamment) : «C’est
sainte Cécile.» |
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